Passion Islande

Bonjour,

Le 10 février dernier, j’ai eu la chance d’assister à une conférence de Valérie Harvey sur l’Islande. Elle nous a décrit la façon de vivre des habitants et ce qu’elle y a découvert quand elle y a vécu.

Situé sur la dorsale de l’Atlantique, l’Islande est sur deux plaques tectoniques qui s’éloignent, il y a donc beaucoup d’activités sismiques. Comme les plaques s’éloignent, l’Islande grandit de quelques centimètres chaque année. Il y a plusieurs dizaines d’années, des Vikings vivaient en Islande. Ils avaient beaucoup d’esclaves qui venaient majoritairement de l’Angleterre. Rekjavik est la capitale nationale de l’Islande. L’Islande est un pays d’eau, c’est-à-dire que dans la même ville, au même moment, il peut faire venteux, soleil, nuageux ou pluvieux. L’Islande est reconnu pour son eau de source que l’on voit habituellement dans des bouteilles d’eau, mais dans ce pays d’eau, l’eau de source coule directement du robinet. Les plus grandes chutes d’Europe se trouvent toutes en Islande et elles attirent de nombreux touristes chaque année. Malheureusement, plusieurs de ces touristes se mettent en danger à cause des conditions météorologiques instables et difficiles du pays. C’est pourquoi plus de 10% des islandais sont secouristes. Les étés sont très venteux et les hivers sont très froids. Stokkur est un des nombreux geysers encore en activité sur l’île. L’Islande a de nombreuses et grandes prairies qui accueillent beaucoup de chevaux sauvages. Ces derniers sont particuliers puisqu’ils ont cinq allures au lieu de trois. Ils sont tous de races pures et ils n’ont jamais été mélangés à d’autres races.

Comme la conférencière a vécu un certain temps dans ce pays nordique, elle pouvait nous raconter sa propre expérience dans le pays. Elle nous a aussi apporté des objets et des livres qu’elle a ramenés comme souvenir. L’année passée, Valérie Harvey  nous avait présenté une conférence sur le Japon. Ces deux conférences se ressemblaient beaucoup, j’aurais aimé plus de renouveau.

Tessa

Alaska la belle

Bonjour,

Le 16 janvier dernier, Monsieur Alain Winter est venu nous présenter sa conférence sur l’Alaska. M. Winter est guide de voyage depuis 36 ans et il enseigne le tourisme. L’Alaska est une de ses destinations préférées et il y est allé à de nombreuses reprises.

L’Alaska est l’un des états des États-Unis. Il s’agit de l’état le plus éloigné après Hawaï. Avant d’appartenir aux États-Unis, l’Alaska appartenait à la Russie qui, en 1867 l’a vendu pour 7,2 millions de dollar aux États-Unis. Au début, l’Alaska était seulement un territoire mais, depuis 1959, c’est devenu un état. Pour se rendre en Alaska à partir de Québec, il faut compter une journée entière de vol, puisqu’il n’y a pas de vol direct. Le drapeau de l’Alaska a été créé par un petit garçon de neuf ans, les couleurs représentant la fleur nationale et le ciel. L’été en Alaska, la température tourne autour de 20-25 degré Celsius et l’hiver la température peut descendre jusqu’à -70 degré Celsius. L’Alaska mesure environ le 2/3 de la superficie des États-Unis. Quatre des plus grands animaux du monde et les tremblements de terre les plus forts sont en Alaska. Il y a plus de 3300 lacs et rivières dans cet état. En Alaska, il fait clair six mois par année et le reste de l’année il fait très sombre. Il y a beaucoup d’aurores boréales, surtout à partir de septembre. C’est en Alaska que ce trouve la plus grande montagne de l’Amérique du Nord, la montagne Denali, qui accueille environ 1 million de visiteurs par année. Le principal moyen de transport est l’avion, les jeunes peuvent commencer à les conduire à partir de 16 ans.

J’ai beaucoup apprécié cette conférence car le conférencier, M. Winter, est allé à plusieurs reprises en voyage là-bas donc il sait beaucoup de choses sur cet état. Puisqu’il y est déjà allé, il a pu nous montrer des photos prisent par lui-même et que l’on ne verra pas ailleurs. Il a aussi pu nous raconter des faits intéressants qu’il a appris dans un de ses nombreux voyages. Je donnerais une note de 7/10 à cette conférence.

Tessa

Le grain de sable

Bonjour,

Le 28 janvier 2020, Monsieur Aly Ndiaye (mieux connu sur son nom de rappeur; Webster) est venu nous parler de son livre  »Le grain de sable ». Ce livre raconte l’histoire de Olivier Lejeune, le premier esclave noir du Québec.

Webster est rappeur depuis 25 ans, il a commencé à 15 ans, il fait donc parti de la génération qui a apporté le rap au Québec. Il a voyagé partout dans le monde, sauf l’Océanie, son voyage de rêve. Il a étudié l’histoire à l’université et s’intéresse à l’histoire des esclaves noirs. Il a déjà fait la première partie de Snoop Dog au Festival d’été de Québec, il a écrit 2 livres et fait plusieurs albums (dont deux nominés à l’ADISQ). Le premier africain est arrivé au Québec en 1629. Les esclaves se faisaient torturer pour qu’il mange (casser les dents et beaucoup d’autres méthodes de torture) car plusieurs tentaient de se suicider pour ne pas vivre cette vie-là. Ils étaient transportés de l’Afrique a bord de ce qu’on appelle les bateaux négriers. Les conditions de vie n’étaient vraiment pas bonnes, souvent les gens se contaminaient avec leurs scelles car ils étaient dans un espace restreint, pour que cela n’arrive pas, ils les bouchaient. Quand des gens mouraient, ils jetaient leurs cadavres par-dessus bord. Les esclaves étaient enchaînés et collés l’un contre l’autre, ils étaient dans une cale de bateau pendant des semaines et ils ne sortaient presque jamais. Olivier Lejeune (son nom de baptême) était le premier esclave au Québec. Il vient de Madagascar en Afrique et en plus d’être un des premiers esclaves au Québec, c’est un des premiers étudiants du Canada. Les esclaves noirs se faisaient appeler des bois d’ébène car c’est un bois noir. Il a été baptisé Lejeune en l’honneur du Père Lejeune, à ce jour nous ne savons pas son vrai nom, Olivier est mort dans la trentaine.

J’ai adoré cette conférence même si elle parle d’un sujet très triste et émouvant. C’est intéressant de savoir comment se passait leur vie à l’époque. Webster utilise beaucoup l’humour pour dédramatiser la chose et il s’assure que l’on comprenne bien avant de trop avancer. Il nous fait participer et nous fait faire des exercices, ce que j’apprécie. Je donnerais une note de 8/10 à cette conférence.

Tessa

L’histoire de la présence noire et de l’esclavage au Québec

Bonjour,

Le 28 janvier 2020, Monsieur Aly Ndiaye est venu nous parler de son livre  »Le grain de sable ». Par la suite, il est revenu le 4 février nous entretenir de la présence noire de  l’esclavage au Québec.

À l’époque, 6% des Noirs vivant au Québec étaient libres. Parmi les 4185 esclaves répertoriés, 1/3 étaient Noirs et 2/3 étaient Autochtones (Panis). Les Panis viennent de la côte est des États-Unis. Les esclaves faisaient partis du commerce triangulaire; la France apportait des produits finis en Afrique, ensuite l’Afrique apportait des esclaves en Amérique et finalement les Amériques importaient les produits primaires en Europe. 61% des esclaves étaient en zone urbaine pour 39% en zone rurale. En zone rurale, les esclaves travaillaient dans les champs. Un peu plus de la moitié des esclaves autochtones étaient des femmes, ils coûtaient en moyenne 400 livres tandis que les esclaves noirs coûtaient en moyenne 900 livres.  Les Métis étaient appelés les Mulâtres, qui vient du mot Mule car ils étaient traités comme du bétail. Quand un esclave s’enfuyait ou disparaissait, les propriétaires mettaient des annonces dans le journal pour le retrouver et ils offraient même des récompenses. L’esclavage a été aboli au début des années 1800 grâce à Charlotte Trim et James Monkay. Un ancien esclave qui a été relâché a fondé la ville de Chicago.

Comme pour la première conférence que M. Ndiaye nous a présenté, j’ai bien apprécié cette conférence. Tout comme la première Webster a dédramatisé le sujet de cette conférence en utilisant l’humour. Je recommande cette conférence, je lui donnerai une note de 8,5/10.

Tessa

Climat et justice sociale; même combat!

Bonjour,

Le 25 février dernier, une conférencière prénommée Sandrine est venue nous parler du climat et des inégalités entre les pays du monde.

Les changements climatiques affectent l’ensemble de la planète mais pas toujours de la même manière. Dans certains pays, les inondations sont plus nombreuses et plus dévastatrices. Pour beaucoup de pays, l’économie est basée sur la coupe d’arbre, mais si on coupe trop d’arbre, le sol est plus fragile aux inondations et aux glissements de terrain. Ces derniers sont dangereux pour les humains et les animaux, en plus de détruire des paysages naturels, des champs, etc. Les pays les plus polluants sont, pour la majorité, ceux qui ressentent le moins les effets des changements climatiques. Malheureusement, ce sont les pays les plus pauvres qui en souffrent le plus. Plusieurs îles qui étaient autrefois peuplées sont maintenant entièrement ou partiellement ensevelies sous l’eau. La conférencière nous a fait réaliser que ce sont les personnes avec la meilleure qualité de vie qui sont le plus ignorants face aux changements climatiques. Les pays les plus polluants sont aussi pour la plupart les plus peuplés. Certains d’entre eux ont un taux de pollution par personne moins élevé qu’un autre pays moins peuplé. Si chacun fait des efforts pour le climat cela pourrait faire une grande différence. Par exemple, acheter moins ou plus du tout de vêtements neufs ou de plastique non réutilisable.

J’ai bien aimé cette conférence, surtout le jeu à la fin de celle-ci. Nous étions en équipe et chaque équipe avait un pays différent, j’avais le Canada. Après avoir lu le texte accompagnant le pays attribué, nous répondions à des questions et des comparaisons que la conférencière posait à l’ensemble des équipes. Ce qui nous a permis de réaliser comment certains pays étaient plus chanceux que d’autres. J’attribuerais une note de 7/10 à cette conférence.

Tessa

Sortie à Montréal

Le 17 octobre dernier, j’ai participé à une sortie d’un jour à Montréal. Nous avons visité le musée de l’Holocauste, fait un tour guidé des quartiers italiens, chinois, etc. ainsi que le marché Jean Talon.

Après le long trajet, notre premier arrêt a été le musée de l’Holocauste, sur la deuxième guerre mondiale. Nous avions une visite guidée du musée, la guide nous expliquait les persécutions que les juifs vivaient et les raisons pour lesquelles les allemands ont fait cela. Dans la visite, la guide nous montrait des objets réels, des photos et des vidéos. Il y avait même un vrai habit que les prisonniers devaient porter dans un camp de concentration. La guide nous racontait ce qui s’est passé depuis le tout début jusqu’à la toute fin dans tous les détails. Suite à notre visite du musée, on nous a présenté une vidéo de l’interview d’un juif résidant en Allemagne pendant la deuxième guerre. Il parlait de son histoire et comment lui et sa sœur ont survécu. Il parlait aussi de ses parents qui eux n’ont pas eu la chance de survivre. Après le musée, nous avons visité les quartiers chinois, grec et italien de la ville de Montréal. La guide nous expliquait les raisons pour lesquelles ces nationalités se sont établies dans la grande ville. Elle nous parlait de l’histoire de chaque quartier pendant que nous les visitions en autobus. Nous avons pu distinguer les différentes architectures représentatives de chaque nationalité. Finalement, nous avons fait un petit arrêt au marché Jean Talon pour découvrir des mets typiques de certaines régions du monde.

J’ai beaucoup apprécié cette sortie car nous en apprenions plus sur différentes nations. La visite du musée était très touchante et m’a fait réaliser ma chance de vivre dans un pays sécuritaire dans lequel je peux m’exprimer librement. Cependant, nous avons accumulé beaucoup de retard en raison de la circulation. Nous n’avons donc pas eu beaucoup de temps pour visiter le marché Jean Talon.

Tessa

Le Mexique

Le 12 décembre dernier, la conférencière Martha Panganiva nous a parlé de l’histoire du Mexique et du pays en général.

Le Mexique occupe 2% de la Terre, il s’agit du 13e pays le plus grand du monde. Ce pays compte 129 millions d’habitants et 68 langues y sont parlées. La capitale, Mexico, compte 25 millions d’habitants. La conférencière nous a expliqué que l’espagnol, une des principales langues parlées du pays, est très facile à lire. Deux tiers de la population du Canada entre dans la ville de Mexico. Au Mexique, il y a 32 états fédéraux. Avant que les espagnols débarquent au Mexique, les Aztèques vivaient sur le territoire. Martha expliquait que c’était une société très développée, ils obligeaient l’école pour tous et ils avaient de l’eau propre pour tous également. L’argent utilisé au Mexique est le peso et le sport national du pays est le soccer. 90% de la population du pays est catholique. Le Mexique est le 2e pays ayant la plus grande variété de climat et il s’agit aussi du 5e pays du monde à avoir la plus grande diversité d’animaux. Les mexicains mettent beaucoup de citron dans leur plat. Ils célèbrent plusieurs fêtes, entre autres, ils célèbrent le dia de muertos (le jour des morts) les 1 et 2 novembre. Il y a plus de 300 danses nationales. Plusieurs aliments de notre quotidien ont été découverts au Mexique, par exemple, le maïs, les piments, le cacao, les cacahuètes, la gomme, etc.

J’ai vraiment aimé la conférence, la conférencière a présenté beaucoup de vidéo. Martha avait écrit sa présentation en espagnol (elle parlait en français) donc, quand il y avait des phrases écrites, elle nous les faisait lire pour pratiquer notre lecture et prononciation. J’ai trouvé cela bien pensé de sa part et pratique puisque l’année prochaine notre groupe aura des cours d’espagnol. La conférencière avait même emporté de la nourriture typique du Mexique pour nous faire goûter. Je donnerais une note de 9/10 à cette conférence.

Tessa

 

La relève numérique

Le 18 novembre dernier, un conférencier de Cybercap est venu nous parler de la relève numérique et des métiers liés à la technologie.

Le numérique est un moyen permettant d’encoder, d’enregistrer, etc. L’ENIAC est l’abréviation de Electronic Numerial Integrator Analyser Computer. Le premier ordinateur a été inventé en 1946 suivi de la création du premier jeu vidéo qui remonte en 1960. ARPANET est l’ancêtre de l’internet, ce dernier a été créé en 1969. L’animation 3D a été créée en 1972 par Ed Catmull. La création du CD date de 1982 et la création du premier appareil photo numérique remonte à 1989. Le premier IPhone (IPhone 1) a été créé en 2007. En 1982, on a utilisé pour la première fois de l’animation 3D dans un film. On s’intéresse au numérique car il est partout: dans notre travail, dans nos communications, etc. Souvent on confond les infographistes et les graphistes, il s’agit de la même chose étonnamment. Le design de mode, le design culinaire, le design urbain, le design graphique font partis des nombreux designs utilisant le numérique. Il y a plusieurs types de motions designs (animation graphique). Il y a du motion design de divertissement, d’information, artistique, etc. La programmation est aussi appelée le codage, il y a plus de 700 façons de coder. L’intelligence artificielle (IA) a besoin de métadonnées (données créées automatiquement par nos activités numériques) et de l’algorithme.

J’ai bien aimé la conférence, les informations transmises par le conférencier étaient très intéressantes. Par contre, le conférencier parlait rapidement donc certaines fois je ne pouvais pas bien comprendre. J’aurais bien aimé que le conférencier développe davantage sur les sujets qu’il abordait plutôt que de parler de plusieurs sujets. Je donnerais une note de 8/10 à cette conférence.

Tessa

 

Cuba et la République Dominicaine en dehors des tout inclus

Le 21 octobre dernier, j’ai eu la chance d’assister à une conférence sur Cuba et sur la République Dominicaine. Le conférencier, Pierre-Luc Côté, nous a parlé de ces deux pays du sud en dehors des tout inclus.

Cuba a été découvert par Christophe Colomb. La capitale de ce pays est La Havane et sa religion est en majorité le catholicisme. Il y a plusieurs années, Fidel Castro essayait de renverser le gouvernement cubain avec un groupe d’individus. Il finit par y parvenir et reste alors plus de 50 ans au pouvoir. Son fils l’a remplacé après son règne. Fidel Castro rend le parlement cubain communiste ce qui ne plaît pas aux États-Unis qui lèvent un embargo envers Cuba. C’est pour cette raison que dans le pays nous y trouvons beaucoup de vieilles voitures et qu’il n’y a pas de Coca-Cola. En 1961, les États-Unis débarquent sur une plage du pays exotique mais, Fidel Castro le savait et les a battus. Les Cubains fument beaucoup de cigares. Il n’y a pas beaucoup de réseaux sans fil mais, il y a quelques bornes de réseaux dispersés dans le pays. Les fermiers cubains ont l’obligation de donner la moitié de chacune de leur récolte au gouvernement. Une tradition cubaine est de jeter des seaux d’eau par les fenêtres dans le but de laisser leur problème de côté. Après avoir découvert Cuba, Christophe Colomb a aussi découvert la République Dominicaine. Le pays est situé sur la même île qu’Haïti. Un des moyens de transport les plus utilisé est le  »guagua ». 24 personnes peuvent être à bord au même moment. Une fois par semaine, un marché Haïtien traverse la frontière pour vendre leurs produits les plus cher. Assez fréquemment, les républicains peignent leurs maisons à l’effigie du parti politique qu’ils appuient. La République Dominicaine est une île mais la pêche n’est pas très importante dans la vie des gens car, ils peuvent uniquement pêcher une sorte de poisson; le poisson lion.

J’ai beaucoup aimé cette conférence car il y avait beaucoup d’images prisent par le conférencier. Cela appui plus ses paroles que des images prisent sur internet. De plus, le conférencier avait préparé un Kahoot à la fin de la conférence pour nous rappeler les informations qu’il nous a transmis. Comme le conférencier est allé dans les deux pays, il a pu nous raconter son expérience personnelle et ajoutait des détails que nous ne pourrions savoir s’il n’était pas allé.

Tessa

 

 

Sensibilisation à l’entreprenariat

Le 12 novembre dernier, Madame Annik De Celles est venue nous sensibiliser à propos de l’entreprenariat dans le cadre de la semaine de l’entreprenariat. La conférencière nous a parlé de son parcours d’entrepreneure.

La conférencière était enseignante d’anglais au secondaire. Elle a commencé sa première compagnie avec des desserts aux légumes et elle est tombé enceinte. Annik a eu le diabète pendant sa grossesse. La jeune femme, étant un grand fan de dessert, a essayé de trouver une façon de manger des desserts tout en respectant les restrictions liées à sa maladie. En cherchant sur internet, elle a trouvé une recette de dessert aux légumes. Elle l’a reproduite et elle a même inventé des recettes. Elle a également apporté de ses desserts à l’école et ses collègues ont tous adorés et lui ont même recommandé d’en vendre. Elle a commencé sa petite entreprise mais elle faisait peu de vente. Un jour, la conférencière a aperçu dans un journal que quelqu’un avait écrit un article sur sa compagnie. Une compagnie d’édition l’a également contactée pour lui proposer d’écrire un livre. Au total, la jeune femme a écrit trois livres; deux sur les desserts et un sur les déjeuners. Elle a aussi donné des cours de cuisine. Pour répondre à la demande grandissante, elle a ouvert un café et un local de production. Ce qui n’a pas été facile puisque les ventes ne sont pas toujours bonnes et les factures sont difficiles à payer certains mois. Annik De Celles a participé à l’émission  »Dans l’Oeil des Dragons ». Malheureusement, la jeune femme a dû fermer son entreprise puisque sa belle-mère est tombée malade. Après la fermeture de sa boutique, Annik a repris l’enseignement de l’anglais et elle a même commencé à enseigner l’entreprenariat. Avec son frère, elle a fondé une maison d’édition qui fonctionne encore aujourd’hui. La conférencière a écrit un autre livre sur des astuces pour « fonder » une compagnie sur la nourriture.

J’ai bien aimé la conférence car la conférencière était drôle et elle s’exprimait bien. Aussi, j’aime beaucoup les histoires réelles sur la vie des gens et donc j’ai bien aimé que la conférencière raconte son histoire. Par contre, la conférence était en anglais ce qui m’a ralentie pour prendre des notes. J’ai donc manqué des « bouts » de l’histoire…

Tessa